Et ça continue...
Je n'étais pas contente d'aller en thérapie mais ça m'a fait un bien fou. J'avais besoin de me recentrer sur moi et de faire une réflexion sur ma vie, où j'étais rendue, que devrais-je faire. J'ai même eu une psychologue pendant un an par la suite. J'avais beaucoup de choses à régler. Mais ça m'a aidée énormément. Et j'en suis sortie plus légère.
Ensuite, pensant aller mieux, je suis retournée au Roset, mais ça n'a pas été long. J'ai fait une crise de panique et on m'a ramenée chez moi. Je recommençais à faire une dépression, alors là a commencé la longue période de changement de médicaments. Il en changeait un et un autre et je n'allais jamais bien. Les hallucinations étaient toujours là mais ce n'était pas ça qui était le plus dérangeant. La dépression m'empêchait d'être active.
Je n'ai pas été réhospitalisée tout de suite, j'étais capable de rester chez moi mais ça n'allait pas bien. J'ai été chez ma mère quelques temps et ensuite chez mon père et ça me faisait du bien de ne pas être seule. Entre temps, je m'étais fait un copain, Mais ça non plus, ça n'a pas bien été et ça n'a pas duré longtemps.
Au mois de janvier, j'ai déménagé dans un appartement plus petit car je vivais seule dans mon grand 5 et demi et ça me coûtait cher. J'ai emménagée dans un confortable 2 et demi, près de l'école des enfants. Je pouvais les voir plus souvent. Mais je n'étais tellement pas bien que je ne les voyais pas si souvent que ça. Je ne voulais pas trop qu'ils me voient dans cet état. Mais je continuais de les voir une fin de semaine sur deux, avec mes parents.
Mais pendant cette période, je n'étais pas active. J'étais encore beaucoup dans mon lit. Je sortais très peu. Je voyais très peu de monde. C'est ça qu'il me fallait. Je sortais prendre une marche de temps en temps, pour aller à l'épicerie ou pour faire de la photographie. Mais j'étais plutôt solitaire. J'étais bien dans mon antre. Quand l'été est venu, j'étais prête à sortir et j'ai fait une belle rencontre...
Ensuite, pensant aller mieux, je suis retournée au Roset, mais ça n'a pas été long. J'ai fait une crise de panique et on m'a ramenée chez moi. Je recommençais à faire une dépression, alors là a commencé la longue période de changement de médicaments. Il en changeait un et un autre et je n'allais jamais bien. Les hallucinations étaient toujours là mais ce n'était pas ça qui était le plus dérangeant. La dépression m'empêchait d'être active.
Je n'ai pas été réhospitalisée tout de suite, j'étais capable de rester chez moi mais ça n'allait pas bien. J'ai été chez ma mère quelques temps et ensuite chez mon père et ça me faisait du bien de ne pas être seule. Entre temps, je m'étais fait un copain, Mais ça non plus, ça n'a pas bien été et ça n'a pas duré longtemps.
Au mois de janvier, j'ai déménagé dans un appartement plus petit car je vivais seule dans mon grand 5 et demi et ça me coûtait cher. J'ai emménagée dans un confortable 2 et demi, près de l'école des enfants. Je pouvais les voir plus souvent. Mais je n'étais tellement pas bien que je ne les voyais pas si souvent que ça. Je ne voulais pas trop qu'ils me voient dans cet état. Mais je continuais de les voir une fin de semaine sur deux, avec mes parents.
Mais pendant cette période, je n'étais pas active. J'étais encore beaucoup dans mon lit. Je sortais très peu. Je voyais très peu de monde. C'est ça qu'il me fallait. Je sortais prendre une marche de temps en temps, pour aller à l'épicerie ou pour faire de la photographie. Mais j'étais plutôt solitaire. J'étais bien dans mon antre. Quand l'été est venu, j'étais prête à sortir et j'ai fait une belle rencontre...
Commentaires
Publier un commentaire
Vous aimez mon blogue ou avez des commentaires à partager? Je serai heureuse de vous lire.